Une pièce de Jean-Daniel Magnin, inspirée du scénario de Maryam Khakipour
Mise en scène Jean-Daniel Magnin et Maryam Khakipour
Avec Christine Murillo, René Turquois, Hélène Viaux, Benjamin Wangermée
Scénographie Jane Joyet, lumières Léandre Garcia Lamolla
Création vidéo Olivier Roset, création sonore Stéphanie Gibert
Production antisthène
Coproduction Théâtre du Rond-Point, Sémiramis, Cie O t’aim, Théâtre du Crochetan, La Maison/Nevers
Création octobre 2020 au Théâtre du Crochetan (Monthey) et au Théâtre du Passage (Neuchâtel)
Reprise à la Maison-Nevers 28 janvier 2022 et au Théâtre du Rond-Point du 2 au 20 février 2022
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Contact production Chloé Chevé-Melzer > production@antisthene.com
Contact diffusion Juliette Finkielstein > juliette@antisthene.com
Licencié de son travail, chassé par sa femme, le fils allait accomplir le plus grand des péchés — effacer lui-même sa vie —, quand il rencontre un petit gars qui ne paie pas de mine mais lui fait miroiter un glorieux chemin de radicalisation. Sauf que s’y oppose l’instinct infini et l’amour aveugle de sa mère, chez qui le fils vient de trouver refuge.
« Un scénario original, des interprétations brillantes pour ce grand moment de théâtre. Amour, espoir, désillusion, radicalisme, des thèmes souvent traités mais pas de cette manière.
A découvrir dès maintenant et sans hésiter ! »Tatouvu Starter – 6 février 2022
« Embrasse moi sur ta tombe, une pièce édifiante et foutraque. Quelques rares tel Ahmed Madani ou Dominique Ziegler ont su présenter l’endoctrinement des fondamentalistes tel qu’il est. Le duo Jean-Daniel Magnin et Maryam Khakipour continue l’entreprise et y ajoute la puissance littéraire de l’humour. C’est à ne pas rater. »
Toute la culture – David Rofé-Sarfati 15 février 2022
« La pièce est portée à son apogée grâce à la présence formidable d’une Christine Murillo indomptable, véritable lionne défendant toutes griffes dehors un fils dont la résistance face à un ennemi sans pitié s’avère des plus inconstantes. Le reste de la distribution – René Turquois, Hélène Viaux et Benjamin Wangermée – ne mérite pas moins d’éloges. »
On-Mag.fr – Michel Jakubowicz 4 février 2022
« Ce texte à la tonalité burlesque offre aux acteurs une grande liberté de jeu. Christine Murillo, remarquable comme toujours, donne corps et âme avec humour à cette mère déjantée et le public a pour elle une irrésistible sympathie. «
Théâtre du Blog – Mireille Davidovici 7 février 2022
« Une pièce nécessaire, à voir pour son analyse de la radicalisation, pour la puissance de l’amour maternel, pour assister au combat démentiel entre Christine Murillo et Benjamin Wangermée. «
Je n’ai qu’une vie – Guillaume d’Azémar de Fabrègues 13 février 2022
© Giovanni Cittadini-Cesi